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Un flux d'octets en provenance de la France australe, organisés chronologiquement en une collection d'observations, de réflexions, de liens en rapport avec mes centres d'intêrets. (About)
Impressions à chaud :
Superbe traversée malgré la pluie, le brouillard et un tronçon ultra boueux, limite dangereux, entre Dos d'Ane et le Colorado (du jamais vu de l'avis de tous). Surpris par un Mare à Boue qui pour une fois portait bien mal son nom. Superbe tracé dans Mafate (comme d'hab ...). Arrivée à La Redoute aprés 47 heures et 21 minutes de galére (un peu) et de plaisir (beaucoup plus). Douche froide à La Redoute (aprés un Grand Raid, on ne s'arrête plus à ce genre de détail), où je croise un certain Jalabert qui a l'air d'être un type plutôt cool.
Rendez-vous pour la 17ème édition si tout va bien.
Celà commencera comme sur la photo ci-contre: à minuit pétante, entraîné par le rythme effréné de 2500 autres "gazés", je m'élancerai comme un fou sur la RN 2. C'est exactement comme ça que que se dérouleront les deux ou trois premiers kilométres.
Aprés, une seule certitude, ce sera plus calme, bien plus calme.
Maj 21 octobre: complètement à côté d'mes godasses !
Les derniers raideurs arriveront dans une heure. Pour ma part, je suis passé complétement à côté de cette 15ème diagonale, et j'ai jeté l'éponge au pied du Taïbit vendredi soir, complétement épuisé. A posteriori, j'éprouve évidemment une immense déception. L'année prochaine si tout va bien, et si j'ai la chance de récupérer un dossard, nul doute que je prendrai le départ de la 16ème édition avec une motivation à la hauteur de la déception rencontrée.
"Ça vous a plu, hein ? On a pris la décision il y a deux trois jours ensemble. On ne cherchait pas la provocation parce qu'on a beaucoup de respect pour le Haka mais simplement en affichant nos couleurs, on voulait montrer qu'on existait et qu'on était fiers de nos couleurs".
Mon document sur la chikungunya a beaucoup de succès. Enormément de lecteurs, beaucoup de retour par mail, mais aussi de nombreuses reproductions littérales sur divers sites web, en dépit de la notice interdisant toute reproduction sans mon autorisation.
Il y a trois semaines, je découvrais même une publication parue dans le numéro de septembre de la revue du praticien - médecine générale, dont une partie significative n'était qu'un copier-collé de mon document. J'ai bien entendu adressé un petit mot d'étonnement et de protestation à l'auteur, mais à ce jour, il n'a pas daigné me répondre.
Il y a deux jours, je découvrais à nouveau une partie de mon document reproduit partiellement sur le tout nouveau site officiel chikungunya.gouv.fr. J'ai là aussi envoyé un email de protestation: toujours aucune réponse.
Celà ne me gêne pas nécessairement d'être reproduit littéralement. Je n'ai pas non plus la prétention de détenir une information originale sur le sujet. Pour autant, il n'est pas acceptable que certains "professionnels" peu scrupuleux s'approprient mon travail ... et ignorent complétement mes protestations. Ils ont tort. S'il est rare que l'on apprécie d'être plagié, il est encore plus rare que l'on apprécie d'être pris pour un idiot.
Un nouveau symptôme du chikungunya: le plagiat - LSZ
Le libre accés à une information disponible sur le net ne signifie pas pour autant que cette information soit libre de droit. Pourtant, qui n'a jamais été tenté de recopier une information glanée de-ci de-là sur la toile. C'est une pratique trés courante, allant du simple droit de citation à l'inspiration, l'imitation et parfois le plagiat.
Depuis plus d'un an maintenant, j'ai mis à disposition sur ce site, à travers un document de synthése sur le chikungunya, les résultats d'une lecture longue et trés approfondie des données de la littérature sur le sujet. Ce document comporte un certain nombre d'informations générales que l'on peut retrouver un peu partout, mais aussi pour certaines assez originales. Il a suscité l'interêt et souvent les louanges de trés nombreux lecteurs, parmis lesquels des scientifiques ou médecins du monde entier, qui m'en ont fait part par email. Il a aussi "inspiré" un certain nombre de site web, voire d'auteurs, qui ont souvent oublié de citer la source originale. Certains n'ont pas hésité à recopier entièrement ou partiellement des extraits de ce document, feignant (le mot me semble trés approprié) d'en être l'auteur.
Ce jour, en lisant le numéro du mois de septembre d'une revue spécialisée, je découvre un article sur le chikungunya rédigé par des confrères réunionnais, qui me laisse un sentiment de déjà vu. Pas de doute, ce sont bien des phrases entiéres de mon document qui sont reprises dans le corps de cet article, mais sans le citer. Je pourrais en être flatté, pourtant j'ai bien du mal à comprendre comment on peut ainsi s'approprier le travail d'autrui en le faisant passer pour sien, qui plus est dans une publication à caractére scientifique. Je me pose aussi la question de savoir si ces auteurs ont pris autant de soin à vérifier la qualité de ces informations "copiées-collées", qu'ils en ont eu à se les approprier ?
J'ai adressé un petit mot à l'un des auteurs et attend sa réponse.
Il n'y a peut-être pas de quoi fouetter un chat, qu'en pensez-vous ?
Impressions à chaud :
Superbe traversée malgré la pluie, le brouillard et un tronçon ultra boueux, limite dangereux, entre Dos d'Ane et le Colorado (du jamais vu de l'avis de tous). Surpris par un Mare à Boue qui pour une fois portait bien mal son nom. Superbe tracé dans Mafate (comme d'hab ...). Arrivée à La Redoute aprés 47 heures et 21 minutes de galére (un peu) et de plaisir (beaucoup plus). Douche froide à La Redoute (aprés un Grand Raid, on ne s'arrête plus à ce genre de détail), où je croise un certain Jalabert qui a l'air d'être un type plutôt cool.
Rendez-vous pour la 17ème édition si tout va bien.
Celà commencera comme sur la photo ci-contre: à minuit pétante, entraîné par le rythme effréné de 2500 autres "gazés", je m'élancerai comme un fou sur la RN 2. C'est exactement comme ça que que se dérouleront les deux ou trois premiers kilométres.
Aprés, une seule certitude, ce sera plus calme, bien plus calme.
Maj 21 octobre: complètement à côté d'mes godasses !
Les derniers raideurs arriveront dans une heure. Pour ma part, je suis passé complétement à côté de cette 15ème diagonale, et j'ai jeté l'éponge au pied du Taïbit vendredi soir, complétement épuisé. A posteriori, j'éprouve évidemment une immense déception. L'année prochaine si tout va bien, et si j'ai la chance de récupérer un dossard, nul doute que je prendrai le départ de la 16ème édition avec une motivation à la hauteur de la déception rencontrée.
"Ça vous a plu, hein ? On a pris la décision il y a deux trois jours ensemble. On ne cherchait pas la provocation parce qu'on a beaucoup de respect pour le Haka mais simplement en affichant nos couleurs, on voulait montrer qu'on existait et qu'on était fiers de nos couleurs".
Mon document sur la chikungunya a beaucoup de succès. Enormément de lecteurs, beaucoup de retour par mail, mais aussi de nombreuses reproductions littérales sur divers sites web, en dépit de la notice interdisant toute reproduction sans mon autorisation.
Il y a trois semaines, je découvrais même une publication parue dans le numéro de septembre de la revue du praticien - médecine générale, dont une partie significative n'était qu'un copier-collé de mon document. J'ai bien entendu adressé un petit mot d'étonnement et de protestation à l'auteur, mais à ce jour, il n'a pas daigné me répondre.
Il y a deux jours, je découvrais à nouveau une partie de mon document reproduit partiellement sur le tout nouveau site officiel chikungunya.gouv.fr. J'ai là aussi envoyé un email de protestation: toujours aucune réponse.
Celà ne me gêne pas nécessairement d'être reproduit littéralement. Je n'ai pas non plus la prétention de détenir une information originale sur le sujet. Pour autant, il n'est pas acceptable que certains "professionnels" peu scrupuleux s'approprient mon travail ... et ignorent complétement mes protestations. Ils ont tort. S'il est rare que l'on apprécie d'être plagié, il est encore plus rare que l'on apprécie d'être pris pour un idiot.
Un nouveau symptôme du chikungunya: le plagiat - LSZ
Le libre accés à une information disponible sur le net ne signifie pas pour autant que cette information soit libre de droit. Pourtant, qui n'a jamais été tenté de recopier une information glanée de-ci de-là sur la toile. C'est une pratique trés courante, allant du simple droit de citation à l'inspiration, l'imitation et parfois le plagiat.
Depuis plus d'un an maintenant, j'ai mis à disposition sur ce site, à travers un document de synthése sur le chikungunya, les résultats d'une lecture longue et trés approfondie des données de la littérature sur le sujet. Ce document comporte un certain nombre d'informations générales que l'on peut retrouver un peu partout, mais aussi pour certaines assez originales. Il a suscité l'interêt et souvent les louanges de trés nombreux lecteurs, parmis lesquels des scientifiques ou médecins du monde entier, qui m'en ont fait part par email. Il a aussi "inspiré" un certain nombre de site web, voire d'auteurs, qui ont souvent oublié de citer la source originale. Certains n'ont pas hésité à recopier entièrement ou partiellement des extraits de ce document, feignant (le mot me semble trés approprié) d'en être l'auteur.
Ce jour, en lisant le numéro du mois de septembre d'une revue spécialisée, je découvre un article sur le chikungunya rédigé par des confrères réunionnais, qui me laisse un sentiment de déjà vu. Pas de doute, ce sont bien des phrases entiéres de mon document qui sont reprises dans le corps de cet article, mais sans le citer. Je pourrais en être flatté, pourtant j'ai bien du mal à comprendre comment on peut ainsi s'approprier le travail d'autrui en le faisant passer pour sien, qui plus est dans une publication à caractére scientifique. Je me pose aussi la question de savoir si ces auteurs ont pris autant de soin à vérifier la qualité de ces informations "copiées-collées", qu'ils en ont eu à se les approprier ?
J'ai adressé un petit mot à l'un des auteurs et attend sa réponse.
Il n'y a peut-être pas de quoi fouetter un chat, qu'en pensez-vous ?